Une femme est photographiée sur le vif après avoir agressé verbalement deux personnes pour leur soutien au Falun Gong. (Marcus Gayle/La Grande Époque)
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FLUSHING, New York -Un après-midi paisible à Flushing a été troublé lorsqu'une femme, âgée d'environ 50 ans, a commencé à hurler d'une voix éraillée sur deux hommes, un Occidental et un Chinois, qui conversaient en privé sur un stand de Démission du Parti communiste chinois (PCC). La femme a crié: «Vous n'êtes pas chinois! Vous êtes mauvais! Vous avez vendu votre pays!».
La femme en colère faisait allusion au fait qu’un des deux hommes, un chinois d'âge moyen,,était en train de parler avec un bénévole du stand de Démission du PCC. Elle a continué à en dire du mal tout en gesticulant.
Une foule de plus de 50 personnes s'est formée dans les cinq minutes qui ont suivies, tandis que les badauds sur le trottoir ralentissaient leurs pas, que les commerçants et leurs clients sortaient des boutiques tandis que des gens se sont avancés vers eux en traversant la rue.
La femme aurait alors essayé de pousser la foule à battre le Chinois, en disant: «Sortez-le!». «Frappez-le!”.Ce n'est pas un (vrai) chinois!» .
D'après le Chinois, William, qui n'a pas voulu que sa photo ou son nom soient publiés pour des raisons de sécurité: «J'ai commencé à parler à l’homme qui distribuait des prospectus, et une femme a commencé à me crier dessus. Elle a ensuite essayé d'inciter une dizaine de personnes à me frapper.»
William lui a dit: «Je suis sino-américain et j'ai le droit de dire ce que je pense.»
Elle l'a ignoré et a déformé ses mots: « Il a dit qu'il n'est pas chinois! ».
Kay Harmon, un pratiquant de Falun Gong d'Orlando en Floride, est venu à Flushing pour être bénévole à l'un des cinq stands de la ville mis en place afin d'aider les Chinois à démissionner du PCC. Alors qu'il distribuait le journal La Grande Époque en version chinoise et qu'il assurait le fonctionnement du stand, William s'est arrêté pour discuter avec lui.
William a expliqué à Harmon comment il avait peu à peu appris la réalité au sujet du Falun Gong et de sa persécution par le Parti communiste chinois. Il a ajouté qu'il habitait Flushing depuis plus de 20 ans et qu'il n'avait jamais été confronté à une telle violence verbale et physique de la part de groupes procommunistes. C'est alors que la femme les a interrompus.
C'était la deuxième fois que William recevait des menaces en essayant de raisonner des groupes pro-PCC à New York. Lors d'un défilé du Falun Gong dans Chinatown en mai dernier, William a fait face pour la première fois à un groupe de partisans du PCC. Il leur a dit qu'ils ne pouvaient pas utiliser la violence contre le Falun Gong. «Ensuite, près de 20 chinois m'ont fait face et ont hurlé: «Tuez-le!».
«J'ai eu si peur» a dit William à La Grande Époque. «Pendant les 20 dernières années, il n'y a eu aucune violence dans mon voisinage. Mais au cours des deux derniers mois, j'ai reçu deux menaces de mort de la part des groupes pro-PCC pour avoir parlé en soutenant le droit du Falun Gong à être entendu.»
William a aussi exprimé son embarras au sujet du manque de soutien et de sympathie de la part de divers fonctionnaires du gouvernement local envers ces pratiquants de Falun Gong qui ont été agressés lors des derniers mois.
«Pourquoi notre représentant au conseil de la ville [John Liu] et à l'assemblée [la parlementaire Young] soutiennent-ils ceux qui ont commis des actes de violence envers le Falun Gong? Pourquoi notre gouvernement ne s'est-il pas exprimé quand Judy Chen, dont les deux fils sont dans l'armée, a été battue? Lorsqu'une mère de soldats est attaquée à Flushing, vous devriez dire quelque chose.»
William faisait allusion à Judy Chen, une pratiquante de Falun Gong qui a été battue par des partisans du PCC alors qu'elle était bénévole au stand de Démission du PCC en mai dernier.
Albert Roman, La Grande Époque – New York
La femme en colère faisait allusion au fait qu’un des deux hommes, un chinois d'âge moyen,,était en train de parler avec un bénévole du stand de Démission du PCC. Elle a continué à en dire du mal tout en gesticulant.
Une foule de plus de 50 personnes s'est formée dans les cinq minutes qui ont suivies, tandis que les badauds sur le trottoir ralentissaient leurs pas, que les commerçants et leurs clients sortaient des boutiques tandis que des gens se sont avancés vers eux en traversant la rue.
La femme aurait alors essayé de pousser la foule à battre le Chinois, en disant: «Sortez-le!». «Frappez-le!”.Ce n'est pas un (vrai) chinois!» .
D'après le Chinois, William, qui n'a pas voulu que sa photo ou son nom soient publiés pour des raisons de sécurité: «J'ai commencé à parler à l’homme qui distribuait des prospectus, et une femme a commencé à me crier dessus. Elle a ensuite essayé d'inciter une dizaine de personnes à me frapper.»
William lui a dit: «Je suis sino-américain et j'ai le droit de dire ce que je pense.»
Elle l'a ignoré et a déformé ses mots: « Il a dit qu'il n'est pas chinois! ».
Kay Harmon, un pratiquant de Falun Gong d'Orlando en Floride, est venu à Flushing pour être bénévole à l'un des cinq stands de la ville mis en place afin d'aider les Chinois à démissionner du PCC. Alors qu'il distribuait le journal La Grande Époque en version chinoise et qu'il assurait le fonctionnement du stand, William s'est arrêté pour discuter avec lui.
William a expliqué à Harmon comment il avait peu à peu appris la réalité au sujet du Falun Gong et de sa persécution par le Parti communiste chinois. Il a ajouté qu'il habitait Flushing depuis plus de 20 ans et qu'il n'avait jamais été confronté à une telle violence verbale et physique de la part de groupes procommunistes. C'est alors que la femme les a interrompus.
C'était la deuxième fois que William recevait des menaces en essayant de raisonner des groupes pro-PCC à New York. Lors d'un défilé du Falun Gong dans Chinatown en mai dernier, William a fait face pour la première fois à un groupe de partisans du PCC. Il leur a dit qu'ils ne pouvaient pas utiliser la violence contre le Falun Gong. «Ensuite, près de 20 chinois m'ont fait face et ont hurlé: «Tuez-le!».
«J'ai eu si peur» a dit William à La Grande Époque. «Pendant les 20 dernières années, il n'y a eu aucune violence dans mon voisinage. Mais au cours des deux derniers mois, j'ai reçu deux menaces de mort de la part des groupes pro-PCC pour avoir parlé en soutenant le droit du Falun Gong à être entendu.»
William a aussi exprimé son embarras au sujet du manque de soutien et de sympathie de la part de divers fonctionnaires du gouvernement local envers ces pratiquants de Falun Gong qui ont été agressés lors des derniers mois.
«Pourquoi notre représentant au conseil de la ville [John Liu] et à l'assemblée [la parlementaire Young] soutiennent-ils ceux qui ont commis des actes de violence envers le Falun Gong? Pourquoi notre gouvernement ne s'est-il pas exprimé quand Judy Chen, dont les deux fils sont dans l'armée, a été battue? Lorsqu'une mère de soldats est attaquée à Flushing, vous devriez dire quelque chose.»
William faisait allusion à Judy Chen, une pratiquante de Falun Gong qui a été battue par des partisans du PCC alors qu'elle était bénévole au stand de Démission du PCC en mai dernier.
Historique
Depuis le 17 mai, des bandes ont menacé et parfois violemment agressé des pratiquants de Falun Gong à Flushing. Le consulat chinois de New York, ainsi que les médias locaux, sympathisants communistes, ont joué sur le sentiment patriotique de la communauté chinoise après le grand tremblement de terre du Sichuan en Chine, poussant à la colère contre les pratiquants de Falun Gong au moyen de fausses affirmations selon lesquelles ceux-ci perturbaient les efforts pour réunir des secours pour les victimes du séisme.
Albert Roman, La Grande Époque – New York